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Florent, développeur confirmé : “Ça peut être valorisant d’avoir de l’autonomie mais j’aime bien quand il y a un lead dev”

Globalistories

Le 5 juin 2023 par Guillemette de Brebisson

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“Historiquement, je suis développeur backend PHP, avec un peu de React. Je ne fais plus de WordPress chez Globalis, j’ai plus d’affinités pour les framework et PHP, ça donne beaucoup de liberté dans les façons de faire de mettre en place des applicatifs métier. Je préfère de loin avoir cette liberté de création.

Je suis chez Globalis depuis déjà 5 ans. L’envie de rejoindre une vraie équipe de dev, d’avoir un cadre structuré m’avait fait quitter mon précédent poste. J’étais le seul informaticien d’une entreprise qui distribuait du matériel de cinéma, j’avais peu de contraintes techniques. J’ai trouvé mon compte chez Globalis, une structure humaine et technique, qui m’a recruté comme dev junior ++.

J’ai évolué dans mon poste, même si ça a été difficile de passer développeur confirmé. Je l’ai été il y a peu, donc après plus de 4 ans chez Globalis. En fait, ça n’a pas changé grand-chose pour moi, j’ai gagné encore en autonomie, mais j’en avais déjà pas mal. Concrètement, certains projets me sont confiés sans qu’il y ait forcément un lead dev dans l’équipe. C’est le cas de la gestion technique que j’assure pour le groupe de cosmétiques Guinot - Mary Cohr.

Être développeur confirmé n’a pas changé grand-chose pour moi. J’ai gagné encore en autonomie, mais j’en avais déjà pas mal.

Deux demi-journées par semaine, je suis dédié à deux applicatifs web stratégiques de Guinot : un extranet et une plateforme de gestion des commandes par laquelle transite toute l’activité commerciale. Je travaille en équipe avec une cheffe de projet mais je suis le seul dev. Ça peut être valorisant d’avoir cette autonomie, même si je ne le vois pas forcément comme ça : j’aime bien quand il y a un lead dev sur les projets. Je suis moins “sans filet”, je peux me référer à lui, demander des conseils sur les directions à suivre et éventuellement réaliser le développement d'une autre façon.

En réalité, il y a quand même des bons côtés ! Mon temps d’intervention est bloqué chaque semaine, ce qui me permet de gérer mon planning, de rester mobilisé et réactif, et le client est plus serein. Je suis en contact régulier avec nos interlocuteurs, particulièrement avec deux intervenants techniques. Le besoin très élevé de disponibilité de l’une des applications nécessite de bien cerner les demandes du métier sur le plan technique. Il y a deux ans, on me donnait des tickets et je faisais du dev lambda. Ce que je fais aujourd’hui pour ce client est très différent de mes premières interventions !

Mon temps d’intervention est bloqué chaque semaine, ce qui me permet de gérer mon planning, de rester mobilisé et réactif, et le client est plus serein.

Ce qui m’intéresse le plus bien sûr, c’est de travailler sur de nouvelles fonctionnalités. Pour Guinot, j’en développe 3 ou 4 par an. J’ai aussi du temps pour rechercher moi-même des évolutions lorsqu’il y a moins de charge. Je consacre ce temps à faire de la veille. Ça n’est pas évident de trouver les bons sujets, je creuse le projet et je fais des propositions pour le faire évoluer. Certaines propositions sont en cours d’élaboration ou de test. Cela m’a donné l’occasion récemment de m’inspirer de technologies que Globalis utilise par ailleurs et que je n’avais pas encore expérimentées. 

J’interviens en parallèle pour plusieurs clients, dont certains me plaisent beaucoup avec des technologies très récentes. J’aimerais intervenir sur d’autres projets nouveaux, ils sont toujours valorisants. Et continuer de faire du React, que j’aime bien, me remettre sur Laravel. Même si je fais un peu de veille sur Laravel, il n’y a pas mieux que de mettre en pratique sur des projets.

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