#Monpremier
1ère mission
J’ai apporté mon œil neuf, j’ai pris les choses une par une.
Romi
Chef de projet TMA
Je suis arrivée comme chef de projet et on m’a tout de suite confié le CNRS, client de Globalis depuis plus de 10 ans. Avec une particularité : le poste était vacant depuis 6 mois. J’avais la responsabilité de la
maintenance évolutive et corrective d’applications existantes et de nouvelles applications étaient à réaliser. J’ai vite mesuré l’ampleur de la tâche : remettre du dialogue et de la confiance, mettre à plat tous les process, rassurer sur ma capacité à gérer le fonctionnel…
Je me suis demandée comment faire pour amener tout le monde en douceur vers une organisation qui fonctionne. J’ai apporté mon œil neuf, j’ai pris les choses une par une et on m’a laissé du temps en interne, puis tout s’est fait naturellement. J’ai eu une belle surprise quand j’ai été confirmée à mon poste alors que ma période d’essai n’était même pas terminée. Cela valait la peine, mon approche avait été la bonne !
1ère galère
J’ai compris que je faisais partie d’une équipe !
Alexandre
Chef de projet
Je me souviens très bien de ma première galère ! Ce qui m’a marqué, c’est que je ne me suis pas retrouvé seul pour gérer le problème. Immédiatement, les autres chefs de projets et les leads dev sont venus me proposer leur aide. C’est là que j’ai compris que je faisais partie d’une équipe !
1er rdv client
Ne pas effrayer nos interlocuteurs avec mon accent…
David
Développeur
En arrivant chez le client, non loin des Champs Elysées, avec notre directeur de projet préféré (nom de code J.O.) et le lead dev du pôle WordPress, J.O. me donne pour consigne de ne pas trop parler, pour ne pas effrayer nos interlocuteurs avec mon accent ! Je suis Landais, ça s’entend un peu… Au moment des présentations, le client demande si je suis le nouveau développeur et j’ose un « Oui c’est moi, je suis David ». J.O. me lance « On t’avait dit de ne pas parler » dans un ricanement général (sauf moi). C’est là que le client, étonné, a mouché tout le monde : « Génial, il vient du Sud Ouest, moi aussi ! Tu es d’où David ? Ricanement général, sauf J.O… Aujourd’hui, mon accent passe presque inaperçu, et j’ai le droit de parler !
1er jour
Mettre à l’aise les nouveaux membres de cette grande fratrie.
Kevin
Business manager
L’intégration au sein de l’entreprise est détendue, presque familiale, J’ai été accueilli par mon responsable (Dany), le fondateur (Fred) et mon parrain (Quentin). C’était très chaleureux : ils m’ont offert un café (à disposition), des viennoiseries (également à disposition) et introduit auprès des équipes techniques. L’idée d’un parrain d’entreprise est très bonne ! Le mien a su se rendre disponible pour répondre à toutes mes questions, me présenter les habitudes internes et détendre l’atmosphère. Après le déjeuner de bienvenue copieux, dans une petite brasserie sympathique, j’ai été formé à l’environnement de Globlalis : technologies, jargon technique, métier de Business Manager. Tout est fait pour mettre à l’aise les nouveaux membres de cette grande fratrie. Un escape game est déjà prévu !
1ère night session
J’ai initié cette soirée et ça m’a donné envie de recommencer
Romain
Chef de projet technique
Ma première night session s’est présentée sous la forme d’un bilan technique et elle est maintenant un événement annuel. J’ai initié cette soirée et la première m’a donné envie de recommencer car l’équipe a montré un vrai intérêt.
Nous l’avions préparée entre lead développeurs, chacun a pris un sujet et l’a présenté. Tous ceux qui le pouvaient ont assisté. Les retours positifs m’ont stimulé. Ça a révélé de nouvelles choses sur ce que chacun fait, ouvert des discussions, orienté notre veille pour l’année suivante. On a mis en évidence aussi des éléments dont on n’a pas forcément conscience. C’est comme ça que nous avons découvert que nous utilisons plus de 100 technos et outils !
Un rituel s’est maintenant installé : après une bonne heure de discussions, on profite d’un pot convivial et ceux qui en ont envie continuent la soirée ensemble.
J’aime bien ces temps de partage, j’ai fait aussi une conférence en école. J’ai trouvé l’exercice stressant au début, mais valorisant et amusant, ça oblige à prendre du recul !
1ers rituels
Les petits dej’ du vendredi matin…
Quentin
Développeur
C’était le premier jour de travail de ma vie, j’ai très vite pu confirmer une impression que j’avais eue lors de mon entretien : l’ambiance est excellente. Les autres entretiens que j’avais faits étaient très formels, en costume, stressants, celui chez Globalis était très détendu : aucune cravate en vue, on m’a directement demandé si on pouvait se tutoyer ! Il y a pas mal de petits rituels sympas, comme les petits dej’ du vendredi matin, ou encore les midis à la brasserie au bout de la rue (et les apéros le soir au même endroit), ainsi que des événements plus ponctuels comme des sorties cinéma (il était chouette, l’épisode VIII, non ?).
L’ambiance sur le plateau est vraiment sympa, très familiale, l’humour est très présent (et toujours de bonne qualité !), on s’y sent tout de suite bienvenu. Des peluches d’Echo, la mascotte de Globalis, peuplent l’open space, chacun reçoit la sienne le jour de son arrivée !
Après quelques mois, j’ai même eu le droit de devenir le sosie officiel de Maurice Gibb des Bee Gees. Apparemment, être musicien et porter la barbe suffit pour obtenir ce prestigieux titre.
Au passage, venant de province, j’ai profité des services d’aide au logement proposé par Globalis. Ils ont réussi à trouver un appartement pour une colocation avec deux de mes amis à 30 minutes des locaux. Juste parfait !
1er livre
La satisfaction d’avoir pris la bonne décision.
Julien
Directeur de projet
« Je me suis lancé dans un projet de livre sur Scrum par le hasard de retrouvailles avec un ancien collègue ! Bassem El Haddad, ex-Globalis resté en contact avec Armel Fauveau, avait le projet d’écrire un petit mémento sur Scrum. Je lui ai proposé mon aide pour envisager quelque
chose de plus complet croisant nos deux expériences.
Eyrolles avait édité le mémento sur la Web Performance d’Armel Fauveau, ils nous ont proposé un format plus développé de 150 à 200 pages : du b.a.-ba de la gestion de projet jusqu’à
l’application de Scrum dans des cas réels. Nous nous sommes répartis la rédaction mais il a fallu réaliser un travail à quatre mains pour assurer un résultat très équilibré et fluide.
Ecrire un livre était pour moi une première, j’ai été confronté à de nombreuses surprises (bonnes ou mauvaises). J’ai surtout eu l’impression d’être dans une sorte de long tunnel d’un an et demi rempli de moments de motivation extrême, de travail intense et parfois de doute avec la tentation de tout arrêter (les périodes de Noël ont été dures). Il y a eu cette fois où l’on a dû revoir entièrement l’organisation d’un chapitre en un après-midi car il ne nous semblait plus cohérent. Il y a eu des coupes, des ajouts de chapitres, etc. Chaque modification a apporté son lot de stress, de remise en cause. Au final, nous avons eu la satisfaction d’avoir pris la bonne décision d’écrire ce livre ! »