Bien dans mon poste
LES PREMIERS JOURS DE CLARA
Globalistories
Arriver dans une nouvelle entreprise est exaltant, mais on ne sait jamais trop à quoi s’attendre. Va-t-on me confier des choses intéressantes ? Serai-je à la hauteur ? Comment seront les boss, l’ambiance ? Pour les Glob’codeurs Clara, Gauthier et Théo, ça a plutôt très bien démarré. On commence avec le témoignage de Clara.
Globalis, c’est ma première ESN. En 8 ans, j’ai connu 4 entreprises, des PME ou des startups : des très petites sociétés avec des équipes de 4 ou 5 personnes, je travaillais sur leurs applications historiques. Puis j’ai eu besoin de voir de nouvelles choses, mais beaucoup d’offres ressemblaient tellement à ce que j’avais déjà fait.
Avec Globalis, il y avait une promesse de diversité, ça a été pour moi le critère clé. On ne m’a pas confié un projet tout de suite mais, dès les premières heures, je me suis dit qu’il y avait une place ici pour moi. Ça ne va pas très loin, mais le fait d’être accueillie par une chef de projet qui était désignée pour être ma marraine, d’être présentée aux autres, ça change tout, ça aide à mettre à l’aise, on se sent attendue. D’ailleurs, j’ai trouvé dommage que le rôle de ma marraine s’arrête après le premier jour.
"Je me suis dit qu’il y avait une place ici pour moi"
Clara, développeur chez Globalis
Ce que j’ai préféré en arrivant, c’est la formation avec Armel, le directeur associé et cofondateur. Chaque nouvel arrivant suit plusieurs étapes d’intégration avec cette formation qui se déroule sur 2 semaines à 1 mois. Ce moment a été une première occasion d’enrichir mes bases théoriques sur des points que je ne connaissais pas encore. Armel est très pointu, passionné, très concerné par ce qu’on fait au quotidien, j’ai rapidement comblé mes lacunes. On était dans un vrai échange avec l’idée qu’on se fait grandir mutuellement.
Au bout de 3 semaines, j’ai démarré sur un 1er projet quasi à plein temps pendant 1 an, un sacré morceau sans aucun risque de m’ennuyer. C’était la 1ère fois que je travaillais sur Laravel et sur une techno à jour. J’avais envie de bien faire et c’était stressant mais je n’ai pas été lâchée toute seule, il y a de l’entraide.
Puis de nouveaux projets, tel que le développement d'une application web sont arrivés, c’était ce que j’avais demandé ! Et je me sers d’outils et de procédures que je n’avais jamais approchés.
Quand on arrive chez Globalis…
Le « parrain » accueille le futur Glob’codeur : le nouveau dev, chef de projet, ou manager de Globalis. De même niveau hiérarchique, le parrain facilite la découverte : rencontre avec toute l’équipe, réponses pratiques et logistiques, bonnes adresses, déjeuner… Quelques jours avant, plein d’infos utiles sont envoyées par mail.
Sur le bureau, un ordi neuf avec tous les outils (messagerie, suivi d’activité, reporting…). Et la mascotte de Globalis en cadeau de bienvenue !
Le « tuteur » est chargé de l’encadrement jusqu’à la fin de la période d’essai : un point de quelques minutes tous les jours, un point de 10 à 20 minutes chaque fin de semaine, mails de suivi aux dirigeants.
Frédéric, directeur associé, présente Globalis, les premiers objectifs et les étapes d’intégration. Les 3-4 premiers mois, une information régulière sur les avantages des salariés (adhésion au CE, PEE, cooptation et primes…) suit par mail.
Tout le monde participe à la réunion de kick off du lundi matin.
Un 1er projet-test démarre dès l’après-midi : mise en condition réelle avec un cahier des charges, carte blanche sur le moyen de le réaliser en quelques jours et mise en situation de clientèle pour la restitution. Ce projet complète les tests de pré-recrutement et permet de faire le tour des acquis.
La formation démarre avec Armel, directeur associé, 30 minutes à 1h30 chaque jour pendant au moins 2 semaines : on s’appuie sur le projet-test et on reprend les bases du web dev pensé pour aujourd’hui.
Pour les « non dev » les 2 premières semaines sont l’occasion de rendez-vous découverte informels avec les dev.
Les lead dev et le chef de projet technique prennent le relais la 3ème semaine : chacun délivre une formation de quelques heures sur un sujet spécifique (outil, méthodo ou dev), avec exercice pratique pendant 1 à 2 jours, puis débrief.
Si tous les voyants sont au vert, le go est donné pour démarrer la prod, souvent en TMA pour corriger de petits bugs. La montée en puissance et le reporting sont progressifs jusqu’à ce que le Glob’codeur soit confirmé dans son poste.
Le mot d'Armel Fauveau, directeur associé
Beaucoup de jeunes dev apprennent vraiment à coder en arrivant chez Globalis. C’est tellement différent de ce qui est enseigné dans bien des formations ! Nous sommes très exigeants sur l’intégration des candidats : nous voulons réussir cette étape, pour eux et pour nous.
Travailler tous ensemble sur des connaissances et des compétences partagées est un accélérateur à la fois pour les projets et pour le développement professionnel des équipes. Notre philosophie à nous, c'est l'excellence de ce que nous délivrons et l'épanouissement de chacun.